«Par film jentends le rythme optique
ne voir que
du mouvement, du mouvement organisé - cela éveille, cela
suscite de lopposition, suscite des réflexes (?), mais aussi
- peut-être - de la jouissance. Ce film noffre pas de «points
dappui» auxquels on aurait recours dans ses souvenirs, on
est livré, contraint de «sentir», se suivre le rythme,
le souffle, le battement de coeur ... et les hauts et les bas du phénomène
nous permettront peut-être de savoir ce quest vraiment sentir
et ressentir, à savoir un processus, du MOUVEMENT.» Hans
Richter 1924 |